Chers lecteurs (et chères lectrices – non, le milieu macho de la techno nous vous oublie pas :-),
Je voulais vous glisser un petit mot à propos de ce qui s’annonce comme l’un de mes gros coups de cœur de la rentrée : la nouvelle compilation Smallville – And suddenly it’s morning. Totalement sorti du marécage minimal (ouf !) le premier various du cousin de Dial expose une densité sonore assez excitante, entre vieux routards (Lawrence, Move D, Lowtec, STL) et petits nouveaux pleins d’espoir (Christopher Rau – véritable révélation cette année -, ou encore Julius Steinhoff, l’un des boss de Smallville). C’est parti. Continue reading