Microniks est une nouvelle rubrique en lien avec les actualités de Boing Poum Tchak! sur Twitter, car désormais, vous pouvez retrouver sur http://twitter.com/boingpoumtchak des news exclusives et de courtes chroniques en anglais (environ un post par jour). Puis à la fin de chaque mois, redécouvrez ici ces reviews, agrémentées de commentaires en français (un peu moins expéditifs :-) ainsi que les pochettes des disques mentionnés et des liens audio. Janvier ouvre le bal avec une sélection matinée de house moderne ou retro, electronica, italo-disco, dark-ambiant, dubstep, abstract techno et post-techno. C’est (re)parti ! Continue reading
Tag Archives: playhouse
[Fr] Rework – Love love love yeah (playhouse)
Ouiiiii on aime !!
Les vrais tubes, ceux qui défoncent l’autoroute auditive dès le premier riff, qui ne prennent pas une ride après plusieurs décennies et des centaines d’écoutes, oui il est malheureux de le souligner, portent souvent des titres vraiment débiles. Continue reading
[Fr] Soylent Green – La forza del destino (playhouse)
Derrière Soylent Green se cache un homme bien (re)connu : Roman Flügel. L’autre moitié du duo Alter Ego sort ce mois-ci un album, ou plutôt une compilation agrémentée de quelques titres, avec son projet electro-minimal-bizarre Soylent Green. Découvert sur la première compilation Famous when dead, il a sorti sur le label playhouse quatre maxis (96-98-2000-2002), dont les meilleurs titres se retrouvent sur La forza del destino, augmentée de quatre inédits. Pour tenter de définir le style, disons que c’est très proche des bizarreries minimales, exploratrices, légères et un peu espiègles des débuts de playhouse (la bonne époque quoi). Les nouveaux titres n’offrent malheureusement pas de plus-value à l’œuvre : Stay stupid et Humpty acid n’apportent rien et sonnent plat, quant à Camera obscura avec son sample d’ Indeep – Last night a dj saved my life – on peut se remettre l’original dans ghetto blaster et en rester là. Enfin le titre éponyme, La forza del destino, est quasiment l’exacte réplique de son remix pour le Jogging beat de Rework, sans le coté dirty toutefois (et l’effet de surprise en moins) mais quand même très efficace.
Au final cela reste un disque très agréable à écouter, une fois qu’on a compris comment les morceaux (aux structures bigarrées et aventureuses) fonctionnent. Plus riche, varié et inventif que la majorité des sorties minimales d’aujourd’hui, c’est un bon « secure stuff » comme dirait Sleeparchive.
On the balcony
Not to be named